La première année des études de santé (PASS et LAS) est exigeante. La réussite ne dépend pas seulement de votre capacité à assimiler une somme considérable de connaissances théoriques. Un facteur est souvent sous-estimé, il concerne la pratique intensive des concours blancs. Ces épreuves simulées sont de véritables répétitions générales. Elles sont considérées par tous les acteurs de la prépa médicale comme un outil indispensable pour décrocher l’admission en seconde année.
Bersot Formation est la référence pour se préparer efficacement à Besançon
Depuis plus de 30 ans, Bersot Formation se dévoile comme la référence de la préparation au PASS et à la LAS à Besançon. L’organisme propose un encadrement complet et des concours blancs réguliers. Ces derniers figurent au cœur de sa pédagogie. Les résultats parlent d’eux-mêmes. En 2025, 62 % des étudiants Bersot Formation sont « Grands Admis » en médecine, 67 % en maïeutique et dentaire.
Les concours blancs sont pensés comme de véritables répétitions du jour J. Ils sont organisés dans les mêmes conditions que l’examen officiel du Concours médecine, corrigés et analysés par une équipe enseignante spécialisée. Cette technique, associée à un accompagnement personnalisé et à des supports pédagogiques actualisés, donne à tous les étudiants les outils pour progresser et gagner en confiance.
Apprendre à gérer le stress avec ces examens blancs
Les concours blancs permettent aux étudiants de se confronter aux conditions réelles du concours (épreuves chronométrées, sujets inédits, ambiance proche de celle d’un amphi universitaire). Ce cadre « en situation » révèle deux enjeux à ne pas négliger.
- L’apprentissage de la gestion du temps.
- La capacité à canaliser le stress.
Pour beaucoup, le stress du jour J constitue la principale erreur. Se familiariser avec l’ambiance, l’enchaînement des QCM, la complexité des sujets et la pression du chrono… Tout cela contribue à renforcer la résistance mentale et à désacraliser l’épreuve officielle.
Évaluez vos acquis et ciblez vos faiblesses
Un concours blanc n’est pas une simple formalité. Il s’agit d’un puissant outil d’auto-évaluation. En vous testant régulièrement, vous obtenez un retour précis sur vos connaissances, vos points forts, mais surtout vos lacunes.
Les corrections, les classements anonymes, les analyses de résultats permettent à tous de réorienter le travail et d’optimiser les efforts. Cette logique de progression est essentielle en PASS et en LAS. Elle constitue le meilleur rempart contre les erreurs de stratégie ou les révisions inefficaces.
Appropriez-vous la méthodologie des épreuves
Lorsque vous décidez de passer un concours blanc, vous devez apprendre à répondre dans le format exact du concours. N’oubliez pas que la méthodologie compte autant que le contenu (organisation de la copie, gestion des QCM, priorisation des questions, compréhension des pièges courants).
Grâce à la répétition, ces automatismes deviennent des réflexes. Ils sont indispensables pour ne pas perdre de points sur des erreurs d’inattention ou de méthode. Les concours blancs contribuent ainsi à renforcer l’endurance intellectuelle et la concentration.
Simulez la compétition et préparez-vous à l’admission
Le numerus apertus impose une forte compétition. Seul un pourcentage restreint des étudiants sera admis en deuxième année. Les concours blancs, avec leur classement, donnent à tous les étudiants une vision claire de la position par rapport au groupe. Ce repère est indispensable pour ajuster l’intensité des révisions et garder la motivation sur la durée.

